Nov 242010
 

Je vais tâcher d'inaugurer une nouvelle rubrique avec une review de films que j'ai aimés et vous conseille donc.
Ne vous attendez pas à une critique ou quoi que ce soit ; moi je regarde des films, je suis bien incapable de les critiquer !

On achève bien les chevaux (They Shoot Horses, Don’t They ?) de Sydney Pollack, sorti en 1969.

Les années 30 en Californie, en plein dans la Grande depression (la période qui suit le crash de 29). S'organisent à travers les pays des marathons de danse, où les plus pauvres viennent gagner trois sous. Gloria et Robert en font partie et danseront sans discontinuer pendant quelques semaines.

chevaux

Joue, entre autres dans ce film Jane Fonda ; pour l'anecdote elle a son blog personnel qu'elle rédige apparemment elle-même.

(vous savez qu'il est frustrant d'être incapable de rédiger une critique de film ?)
(le film est bien il faut le voir).
(ce billet prendra place dans les billets les plus nuls de toute l'histoire du billet)
(mais voyez ce film)

Share

  6 réponses sur “On achève bien les chevaux”

  1. Ce films est vraiment fabuleux.
    J'ai adoré.

    (voilà qui va hautement contribuer à faire avancer le schmilblick et à donner envie aux gens de le voir je n'en doute pas ;))

  2. Ho les critiques de films c'est plutôt simple. Tu fais pause au hasard et tu décris l'image, puis tu décris la scène autour, et tu dis qu'elle est représentatif d'un certain style, que l'on retrouve, d'ailleurs, dans d'autres oeuvre du réalisateur.

    Tu complimentes longuement le travelling, avec une petite affection, quand même, pour ce plan américain fort joliment composé.

    Dans la dernière partie, tu creuses le propos (si tu y trouves une métaphore c'est bonus ; n'hésite pas à creuser très profondément, plus que le scénariste et/ou le réalisateur lui-même) et tu ouvres vers une question.

    C'est un bon film, mais super déprimant, quand même. Il est bien placé dans ma liste "Films à regarder lorsque je pète un peu trop la forme." [Tu vois, CA c'est de la critique objectif, fondé, longue, analytique, universel et tout ça. Roger Ebert m'a tout appris]

    Film à largement conseiller en tout cas 🙂

  3. Je ne suis ni pour ni contre les chevaux et je n'ai rien de spécial à ajouter à ce somptueux billet.
    Je laisse juste ce commentaire pour participer au concours Godard.
    (j'espère que tu gères les inscriptions trans-billets...)

  4. joelle : ok on se comprend !

    sidh ; je te remercie sauf qu'il y a un petit autre problème ; je suis nulle en descriptions. mais je vois le principe.

    uscalde ; mais quelle flemme tu te traînes ! tu ne pouvais pas mettre un com dans l'autre billet !

  5. J'avoue, ce n'est pas tant la flemme qu'une certaine malice, saupoudrée de superstition, pour provoquer la chance (en regardant notre monde d'aujourd'hui, j'ai remarqué que la chance et la réussite souriaient statistiquement plus aux roublards et aux chieurs qu'aux petites gens humbles, dociles et intègres...)
    Non je blague, c'est une question de motivation, si le lot avait été une palette de tubes de crème hydratante anti-rides au Cu-Zn linimenté des laboratoires Dermera-Bougris, je me serais inscrit correctement... 🙂

  6. l'homme qui murmurait à l'oreille de Jane Fonda

Désolé, les commentaire sont désactivés pour l'instant.