(mon titre comporte une référence de foufou).
Dans son article Sacrées parisiennes, dont le titre seul aurait du nous mettre la puce à l'oreille (personnellement, je n'emploie l'adjectif sacré qu'à destination unique des enfants de moins de 5 ans qui ont volé un bonbon), François Hauter dresse le portrait des femmes françaises.
Que dis je ; de la femme parisienne, rive gauche qui s'habille en Dior. Oui en gros il parle de deux personnes.