Vous avez déjà compris que je ne suis pas cinéphile. Et pourtant je vois plein de films que, pour des raisons indéterminées, la critique se refuse à conseiller. Nous allons donc parler du film catastrophe et plus précisément du Pic de Dante. Fressine en avait déjà parlé mais je la soupçonne d’une légère ironie dans son billet.
Ici nous serons sincères, admiratifs et tout bonnement dans une béatitude contemplative. Oui comme des bonzes.