Quelques jours de vacances et un ouragan clitoridien se répand sur nos têtes.
En préambule (suite à quelques mésentendus sur twitter). Je ne reproche à personne d'être contre Osez le féminisme ou cette campagne. Je ne me suis jamais cachée de ma méfiance envers cette assoc comme celles et ceux qui me pratiquent depuis un moment connaissent mes engueulades homériques avec les chiennes de garde.
En revanche, je déplore que les journaux, selon leurs habitudes bistrotières, persistent à ne s'intéresser au féminisme qu'en cas de discussions – je n'ose parler d'engueulades – et jamais lorsqu'il y a actu plus consensuelle.